lesoumisdechantal

Maîtresse, je vous baise les pieds.

Je vous supplie de bien vouloir me pardonner ce retard, mais votre ami Mr Robert, ne m’a pas autorisé à vous écrire.

Selon vos ordres  je lui ai bien remis la cravache en espérant qu’il me corrige et m’autorise à vous obéir, mais si il m’a donné cinq coups, c’était pour m’apprendre que je n’étais qu’une soumise qui ne pouvait lui parler directement.

Je le remercie de m’avoir appris cette leçon et je lui en suis reconnaissant. Un soumis ne doit parler à son maître que si ce dernier lui adresse la parole.

A sa demande je dois maintenant vous raconter ces trois jours que j’ai passé sous sa contrainte, je sais qu’il relira ce texte et que je serais punie si je cache ma soumission.

Vendredi soir je me suis préparé selon vos ordres pour attendre la visite de celui que vous m’aviez envoyé, j’étais selon votre consigne habillée en femme de chambre, jupe noie, chemisier blanc et tablier de service.

Lorsque j’ai ouvert la porte, je n’ai pu voir celui qui se présentait car comme il se doit, j’étais à genoux, le regard vers le sol. Lorsqu’il m’a fait relever j’ai vu que ce n’était pas le même homme que l’autre soir, lorsque vous m’avez obligée à me prêter à des fellations dans le parc.

Il m’a ordonné de l’appeler maître Robert et m’a ordonné d’enlever ma jupe et de ne garder que mes sous vêtements, j’ai du aussi enlever mon string, car il voulait voir la folle que vous lui aviez offert.

Je ne m’étais masturbé ainsi que vous me l’aviez demandé et il a pu voir que j’étais  en érection de me présenter ainsi devant lui. Il a rit de moi et m’a traité de folle, de pédé, mais qu’il ne voulait que ma bouche et mes fesses.

Pour ma grande honte alors que j’embrassais sa verge pendant qu’il buvait un whisky, j’ai éjaculé et il m’a obligé à nettoyer le sol avec ma bouche et de lécher mon sperme.

Heureusement cela m’a donné la force de ne plus avoir d’érection et la soirée c’est encore assez bien passé, il m’a prise deux fois, dont l’une sur la table de la cuisine.

Pour ma grande honte et à la demande de Maître Robert, je dois avouer que j’y ai pris du plaisir, je suis une chienne en chaleur juste bonne à me faire enculer et ma bouche est un sexe.

J’ai dormi sur le sol, attachée au pieds du lit en laisse avec mon collier.

Je vous baise les pieds et je vous laisse, maître Robert, m’appelle, je lui ai remis votre cravache.

Votre servante soumise qui vous baise les pieds.